Un tapis, c’est :
– une dimension.
– une âme amortisseuse*.
– un revêtement.
– une conformité à la norme.
Différents types de fabrication :
Compact :
Tapis dont le revêtement et l’âme amortisseuse sont dans la même matière et sont fabriqués en même temps.
Homogénéité absolue du tapis dans toute sa surface. Meilleure solidité.
Houssé :
Tapis fabriqué en 2 parties :
– une âme pour amortir.
– une housse intégrant souvent un antiglisse pour protéger.
Sa solidité dépend du revêtement et de la confection.
Ses qualités de réception dépendent le l’âme en mousse.
Thermossoudé :
Tapis dont le revêtement et l’âme sont solidarisés au moment de la fabrication.
Avantages : jamais de plis et dimensions plus uniformes qu’un tapis houssé
Stratifié :
Tapis dont le revêtement est solidarisé avec l’âme en mousse mais les champs ne sont pas recouverts.
Différents niveaux de norme :
Norme européenne EN12503.
1- Tapis pour le travail au sol sans saut
Conforme à la norme EN12503-1 type 1
– Les tapis d’initiation Sarneige.
2- Tapis pour le travail au sol avec réception de saut
Conforme à la norme EN12503-1 types 1 et 2
– Les tapis polyvalents Sarneige
3- Tapis pour le travail au sol avec saut et réception stabilisée
Conforme à la norme EN12503-1 types 1, 2 et 3
– Les tapis gymniques Sarneige
Les matériaux :
Un tapis ne devrait pas être choisi par son utilisateur uniquement en fonction de son prix et de sa couleur.
Il est important de prendre en compte les éléments suivants :
– propriétés.
– qualité.
– durabilité.
* L’âme amortisseuse.
C’est le point clé dans un tapis.
Il faut certes que l’âme passe la norme EN12503 avec succès mais elle doit être conçue pour amortir les chocs à l’impact sans renvoyer les ondes.
Le rôle premier d’un tapis n’est pas juste d’être un protecteur ou un isolant, mais c’est de soulager vos articulations.
* Le revêtement.
Le revêtement doit être résistant et facilement nettoyable.
Tous les revêtements des tapis classiques sont composés de PVC (avec ou sans phtalates).
Dans une démarche éco responsable, Sarneige a cherché une solution de substitution avec son nouveau revêtement sans PVC.
En effet, l’incinération de certains PVC ne réduit pas le potentiel toxique. Au contraire, elle génère une perte plus dangereuse que le produit initial. Quand le PVC est brûlé, l’acide chlorhydrique (HCl) est formé et doit être neutralisé. Le résidu qui est alors formé, possède un poids qui égale ou excède le poids de pré-incinération du PVC. Ainsi, au lieu d’accomplir l’objectif de réduction du poids du plastique, l’incinération du PVC crée une perte bien plus dangereuse ou plus lourde.
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